S'il vous plait faites-moi mal Par cerise

Une soirée de printemps sur une péniche qui démarre mal. La veille, une relation s’est terminée et manque de chance ce soir il est là, à errer, a l c o o l i s é, allant de Domina en Domina, ça m’énerve profondément de le voir dans cet état-là et je boue intérieurement.

Comme à l’origine, je devais aller avec lui à cette soirée, je me suis débrouillée pour trouver un soumis qui m’accompagne, quelle erreur, n’ai-je pas fait là!

Je ne suis pas d’humeur à jouer avec lui et il ne me donne pas envie, je sens la soirée virer à la catastrophe…..Heureusement mon amie domina Lilly est là, une grande black imposante et très sévère, elle ne sourit que très rarement mais depuis qu’on est amie, qu’est-ce qu’on rigole et j’adore la voir rire aux éclats, les gens la découvrent sous un autre angle, enfin ils découvrent qu’elle peut sourire et même rire.

Elle me voit, m’observe, sent que je vais mal, essaie de me distraire mais sans y arriver. Ce soir, je ne suis pas dedans, j’observe mon ex de loin, il me fait de la peine.

Mon soumis, quant à lui, mélomane par passion, commence à me dire qu’il ne supporte pas l’electro diffusé, que ce n’est pas la musique qu’il aime et que ce type de son risque fortement de nuire à son audition, il craint les acouphènes.

C’en est trop! Il manquait plus que ça ! Je me lève, lui ordonne de baisser son pantalon et lui administre une correction à la cravache pour avoir osé râler.

« Merci Maîtresse ». Me dit-il les fesses bien rouges.

« Tu t’assois et tu ne bouges plus! ».

Lilly affairée à s’occuper de son soumis, me regarde du coin de l’œil, s’approche de moi et me dit: « tiens, prends-le défoule-toi sur lui! » en pointant du doigt un soumis, nu, seulement vêtu d’un harnais en cuir et d’un string cuir, à quatre pattes, collier et laisse prête à prendre.

Je le regarde dédaigneusement, il lève ses yeux timidement vers moi, implorant un « prends-moi et occupe-toi de moi », je prends la laisse en main, je le scrute, il est très mince, musclé mais mince, je les préfère plus massifs et je lui dis « Non, tu ne me plais pas, j’ai pas envie de jouer avec toi ». Il baisse les yeux vers le sol, visiblement déçu.

Je m’en vais et monte à l’étage de la péniche, rejoindre le bar pour prendre une vodka redbull et me détendre. Là, mon paillasson préféré est là, couché au pied du bar, je le salue en lui tendant ma main, qu’il baise, je lui fais un signe de tête en guise de remerciement et je monte avec mes cuissardes sur son ventre.

Je piétine son ventre, puis son bassin, je caresse de ma semelle et j’appuie fortement sur son sexe, je marche ensuite sur ses cuisses, puis je remonte ensuite sur son thorax pour m’arrêter finalement, les deux pieds ancrés sur son ventre, talons aiguilles bien enfoncés sur ses abdos bien contractés, et je commande au bar ma boisson. Du coup, je suis un peu plus haute que les autres, quel sentiment agréable…. Je jette un œil sur le paillasson, son sourire en dit long sur le plaisir qu’il éprouve.

Je prends mon verre et au moment de redescendre de mon paillasson, je vois mon ex en train d’emballer une nana, bref, je redescends et vais retrouver Lilly, enragée.

Le jeune soumis en harnais est toujours à quatre pattes à côté d’elle à attendre si quelqu’un voudra daigner s’occuper de son cas. Le mien, râleur, mais calmé, est assis et attend. Visiblement il n’est pas satisfait d’écouter de l’electro.

Je m’approche du jeune, je prends sa laisse et glisse dans son oreille: « J’ai envie de me défouler, tu vas prendre cher, tu veux jouer? » Il me répond: « Oh oui Maîtresse ».

Je l’emmène tel un chien, jusqu’à un mur, le fait se redresser, le met en position, bras en l’air écartés, jambes tendues écartés. Je sors alors mon martinet de mon sac et je commence doucement sur les fesses, pour les chauffer puis de plus en plus fort. J’arrête, m’approche, appose mes mains sur ses petites fesses bombées toutes chaudes, je les caresse, me colle contre son corps et lui glisse dans l’oreille « Ça va? » Son regard vers moi en dit long, oui ça va, il aime ça.

Je reprends donc maintenant le martinet sur le haut du dos, je commence à avoir mal à la main, il faut que je passe au fouet. J’en sors un de mon sac, en cuir noir, tressé avec deux languettes au bout, d’une longueur d’1,20m environ.

Ah….. là ça commence à claquer, de vraies traces apparaissent sur son dos, sur ses fesses. Il ne bronche pas. Encaisse chaque coup, et à chaque marque, je ressens son plaisir partagé avec la douleur de chaque coup reçu.

Non seulement, je me défoule et ça me fait un bien fou mais je ressens du plaisir, un plaisir sexuel. Je suis excitée. Je le sens. Je mouille.

Je m’approche de lui et colle mon corps contre le sien, comme pour le protéger et le serrer dans mes bras. Je le caresse, son dos est cinglé de traces régulières rouge, de la taille des lanières du fouet.

Je sens sous ma main, l’enflure de chaque trace laissée. Il a la peau douce, mes mains découvrent son corps, son torse, son dos, ses fesses. Je suis collée contre son corps, il ne bouge pas, se laisse faire et je regarde vers son string et j’y vois un beau gonflement. Le fouet l’excite.

Je le fais mettre à quatre pattes et le ramène vers Lilly où je m’assois à côté d’elle, je suis radieuse, je viens de passer un excellent moment. Je garde la laisse en main. Finalement, il est pas mal ce jeune soumis. A mes pieds, je lui tends ma cuissarde qu’il commence à caresser puis à lécher. Hummm….

Et là, je vois mon autre soumis visiblement jaloux du nouveau. Cela ne va pas pouvoir durer. Il se plaint qu’il est fatigué, qu’il veut rentrer, il est 4h faut pas exagérer! La soirée ne fait que commencer…..Je commence juste à m’amuser!

Je tire la laisse vers moi pour demander son prénom à mon jeune soumis: Ben.

Où habites-tu?….. A côté de chez moi! Peux-tu me ramener? Oui Maîtresse, avec grand plaisir. Parfait.

Je vais voir mon soumis fatigué et lui dit: « Rentre chez toi dormir. » Il se lève, me salue et s’en va. Je retourne m’asseoir et pendant que je papote avec ma Lilly, Ben me lèche les cuissardes, m’embrasse les pieds.

Savez-vous qu’on ressent parfaitement le passage de la langue sur une cuissarde comme si on le faisait directement sur la peau? Quelle délicieuse sensation…

Il est 5h, la soirée se termine et je repars avec Ben, ça fait drôle de le voir habillé en civil! Dans la voiture, on discute beaucoup, on fait connaissance. Arrivés devant chez moi, il se gare, je suis surprise et à mon étonnement il me dit qu’il ne souhaite pas me déposer comme ça au milieu de la rue. Soit. Du coup, garé, la conversation se prolonge et l’envie de jouer revient.

Il est masochiste et fétichiste des pieds.

Je lui propose de monter chez moi, il est presque 6h, je ne sens même pas la fatigue…En revanche, l’envie de jouer, oui!

Chez moi, je l’ordonne de se déshabiller, il est complètement nu devant moi. Il se met à bander direct. Je jette un regard noir sur sa queue dressée et lui ordonne d’arrêter. En sachant pertinemment, que cet ordre conduit parfaitement à l’inverse pour un soumis, il n’en bande que plus fort. Pour mon plus grand plaisir, mais évidemment il ne le sait pas….Je ne lui montre pas.

Puisqu’il me manque de respect en érigeant sa queue (belle et conséquente) devant moi, je le fais mettre à quatre pattes et le corrige. C’est pire…. Sa queue dressée, commence à couler. Je l’humilie: « t’as des fuites ? » « tu n’es bon à rien » « incapable de te retenir, effronté ».

Je le fais se remettre debout et l’attache au poteau que j’ai la chance d’avoir chez moi. Menottes chevilles et poignets. Je sors le fouet et le punit pour son incapacité à débander. Je l’engueule, il débande un peu en se demandant bien ce qui va lui arriver, je tourne autour de lui et je sors le fouet.

Je le fouette et plus il grince des dents sous chaque coup, voire gémit, plus sa queue se dresse, se gonfle et un petit filet de liquide séminal se remet à couler, jusqu’à couler parterre…..

Je suis quant à moi, excitée au plus haut point, que dis-je, je suis trempée, je le sens entre mes jambes. Moi aussi, si ça continue, je vais couler par terre…..Je porte un combishort en wetlook, des collants à grosse résille et des cuissardes en vynil noir. La fermeture éclair entre mes jambes commence à me gêner, mon entrejambe explose aussi dans mon combishort, mais je n’en fais rien paraître. Je ne lui montre ni ma joie de le voir bander, ni mon excitation sexuelle.

Une fois son dos et ses fesses bien zébrés, je m’approche de lui, me frotte contre son dos et passe ma main de l’autre côté, sur sa queue. Je caresse sa queue, puis d’un coup, je la sers fort, très fort, jusqu’à lui faire échapper un petit cri.

Je ne vais quand même pas le masturber non? Bien que j’en meurs d’envie….

Je desserre ma poigne sur son sexe et je recommence mes caresses de bas en haut, puis je ressers à fond. Alterner la douceur et la dureté, j’adore ça. Comme mes doigts sont empreints de liquide séminal, je lui fais lécher mes doigts.

Je le détache, il bande toujours à fond, je m’assois sur le canapé et le fais mettre à genoux à mes pieds, genoux bien écartés afin de bien voir son sexe érigé. Je m’allume une cigarette, ses mains sont derrière le dos et pendant que je fume, je pose la semelle de ma cuissarde sur sa queue et je joue avec. Il se mord les lèvres. Ses yeux se ferment. Je continue mon petit jeu, je sens qu’il se retient à fond. Je ne veux pas qu’il jouisse maintenant.

Je sais pertinemment que pour un fétichiste comme lui, je pourrais le faire jouir très facilement avec ma botte, que la caresse de ma semelle, le rend fou, que lorsque je le branle avec mon pied, il peut gicler à tout moment, alors je dose, en arrêtant et reprenant régulièrement.

Je suis sadique et frustrante et j’adore ça. C’est moi qui décide quand je lui donnerai l’autorisation de jouir ou pas. Face à lui, je lui demande de me regarder dans les yeux, j’ouvre mes jambes et je commence à ouvrir la fermeture éclair, elle est double, un côté s’ouvre vers le haut, l’autre vers le bas. Je dégage les bords de ma combishort, ma chatte est entièrement mise à nu à sa vue, elle brille tellement elle est imbibée de cyprine, je passe un doigt dessus, je remarque qu’un nouveau filet coule de sa queue, le gland est complètement gonflé et tendu, presque v i o l e t de désir et je lui fais lécher mon doigt. Un « hummm » s’échappe de sa bouche.

Je tire la laisse que j’ai gardée en main vers ma chatte et sans rien dire, sa tête se rapproche inexorablement de mon intimité qu’il s’empresse de lécher.

Il s’applique parfaitement à sa tâche. Comme il me lèche bien! Je me régale, je suis moi aussi à deux doigts de jouir. Ne pas lui montrer, ne pas lui montrer….. Comme son visage est entre mes jambes, j’en profite pour fermer les yeux et me laisser aller à mon plaisir qui ne tardera pas à venir, car l’avantage c’est que Moi, personne ne m’empêche de jouir.

Sa langue très habile à caresser mon intimité, lécher mon clito, pénétrer mon vagin, va déclencher un orgasme profond. Qu’il va forcément ressentir vu qu’il a la tête aux premières loges.

Il s’arrête à mon ordre, une fois que j’ai repris mes esprits et que mon sourire débile de jouissance assouvie a disparu pour laisser place à un regard plus dur de composition. Manque de chance, tellement bien et heureuse, je n’y arrive pas. Je souris, pas béatement quand même, mais je lui souris. Une façon de le remercier.

Il me regarde, lui toujours aussi excité. Je vois dans ses yeux que quelque chose se passe. De mon côté, je l’observe encore davantage, il est super mignon et a un air coquin que j’adore.

Cela doit faire 4 heures qu’il est excité, fouetté, maltraité, il est temps de le récompenser. Je vais le caresser avec mes bottes, le branler jusqu’à ce qu’il jouisse ou lui demander de se masturber devant moi?

Allons-y doucement.

Je pose ma semelle sur sa queue, je la caresse, lui appuie sur son ventre presque à l’écraser puis je lui demande de se toucher devant moi. Il jouira très vite, très fort.

Oh le cochon! Il s’en est mis partout sur lui et sur ma botte.

« Lèche maintenant! Et qu’il ne reste plus une goutte. »

Là, sa mine est moins réjouit….

Le problème avec un soumis c’est qu’une fois qu’il a joui, il est beaucoup moins soumis… La dernière obéissance est toujours difficile à obtenir. Il sort presque immédiatement du jeu. Or, il n’est pas fini tant que ce n’est pas moi qui en indique la fin.

Il s’exécute finalement, même si le dégoût (de lui-même, c’est son sperme!) est là.

On est dimanche, il est 9h du matin, je lui propose mon canapé et moi je vais dans ma chambre. Il partira quelques heures après en me laissant dormir tranquillement…..

Le lundi soir, après pas mal d’échanges de textos depuis la veille, il viendra sur mon ordre me chercher au travail pour me ramener chez moi.